Témoignages

Envoyées en Mission

Témoignages :

Récit de Sœur (Jean Lux)
Non, je ne regrette rien
Elève infirmière en 1938-1940
Septembre 1939 : Sœurs mobilisées par la Croix Rouge

Sœur Odette Panet
Sœur Jean Berchmans
Sœur Agathe Mozet
Sœur Hélène Malaisé
Sœur Vincent de Paul
Sœur Paule Parant
Sœur Irène Courty
Sœur Henriette Chauvet
Sœur Martial
Sœur Marie Thérèse Deglaire
Sœur Marie Thérèse Bourtembourg
Sœur Agathe Coqueret
Sœur Georgette Philippe
Sœur Suzanne
Sœur Jean de la Croix
Sœur Hélène Leroy
Merci Aline
Sœur Anne-Marie Balard
Centenaire de Sœur Jean-Marie
Sœur Jean-Marie
Sœur Marguerite-Marie Graf
Sœur Yvonne Davenne
Sœur Geneviève Gosset
Soeur Denise Michel (Soeur Léon)
Soeur Marie-Madeleine Augée
Centenaire de Soeur Marguerite Mauprivez

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La vie missionnaire continue

La Transmission orale de la Parole de Dieu :
7 mai 1976 :
La Parole de Dieu transforme les mentalités
La Parole de Jésus appelle et envoie
Les responsables de communauté de Léré se réunissent

Nouvelle année apostolique 1980 :
Le scolaire évolue 
L’animation sanitaire se structure
Des Greniers communautaires sont construits

Visite de Monseigneur Bouchard 12 avril 1981

La mort d’un pauvre : Jean Patalé

La vie missionnaire continue
Epreuve dans notre vie missionnaire

Comment continuer la mission à Léré ?

Congrégation des Bene-Téréziya

Diocèse de Pala (notre diocèse) : voir le site

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Richesse de la vie missionnaire

Peuple religieux : Un peuple religieux qui nous interpelle
Une Chrétienté généreuse mais déjà heurtée par nos divisions

Les activités missionnaires s’organisent… : Rentrée des classes 1971
Session de fiancées… Un appel

1971 : Recherche avec l’hôpital pour l’animation sanitaire :
Recherche avec Monsieur Patalé, Moundang.
Pour la promotion des femmes, trouver des responsables

Fête des Moundangs

Ecole du soir

Recherche de femmes responsables : Organisation et formation

Repos et détente au bord du lac

Relation d’amitié : notre chemin apostolique

Où en est l’animation en 1975 ?
La vie a continué… Quelques années après, en 1975 où en est l’animation ?
Creusement de puits, Construction de grenier à mil communautaire
Fabrication de charrettes : « ambulance » ! Souci de l’hygiène

Promotion collective
Octobre 1975, après la saison des pluies :
Dans les villages, l’animation sanitaire progresse. L’école aussi est bien reprise.

Forage des puits : Puits

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Envoyées en Mission

Envoyées en Mission au Tchad

Envoi en Mission
Départ et arrivée au Tchad : 8 septembre 1969
Fête à la Mission en notre honneur
Nos découvertes : Paysages de notre région
Vie familiale au Tchad
Les métiers
Premier dimanche en brousse en compagnie du Père
Apprentissage de la langue
Apprivoisement
Fête de l’indépendance : 30 janvier 1970
Prévoir l’avenir : visite à Mombaroua et à Lara
Ecole de la Mission de Léré, ouverte à tous
Visite de l’école
Jardin d’enfants
Cours préparatoire 1ère année
Cours préparatoire 2ème année et C. élémentaire
Découverte de la religion animiste
Premier retour de mission de Sœur Danièle à Reims : juillet 1971

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Jeux

Jouons avec Nicolas Roland

Jeu de l’Oie avec Nicolas Roland

Connais-tu Nicolas Roland ?

Ouvrir les chemins de dialogue avec Nicolas Roland

Coloriage de la vie de Nicolas Roland

Autres Jeux

Jeu des apôtres

Jeu des couleurs liturgiques

Jeu des objets liturgiques

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2012 in review

Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2012 de ce blog.

En voici un extrait :

600 personnes ont atteint le sommet de l’Everest en 2012. Ce blog a été vu 4 400 fois en 2012. Pour que chaque personne ayant atteint le sommet de l’Everest puisse visiter ce blog, 7 ans auraient été nécessaires.

Cliquez ici pour voir le rapport complet.

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Soeur Marie-Madeleine Augée

 Soeur Marie-Madeleine Augée

(Sœur Lucie)
1922 – 2012

Sœur Marie-Madeleine est née le 23 janvier 1922,
dans une famille chrétienne de Mairy sur Marne,
dans le diocèse de Châlons.
Famille heureuse où les enfants s’éveillèrent à la vie
dans une belle fraternité.
Marie-Madeleine gardera toujours une « réelle connivence d’âme »
tout spécialement avec Anne-Marie, sa plus jeune sœur,
l’extériorisant souvent dans des partages à n’en plus finir…
Dans ce terrain où Dieu a vraiment sa place,
Jésus-Christ en choisit deux pour en faire un prêtre et une religieuse.

La formation reçue en famille se développera pour l’un, au séminaire,
pour l’autre à l’Institution Jeanne d’Arc de Reims.
C’est en classe de 5ème que Marie-Madeleine y fut reçue comme pensionnaire ;
c’était une élève studieuse et brillante.

Ce fut ensuite Chierry. Elle connut aussi l’exode à Evaux puis à Guéret.
Lorsqu’elle rentre à Reims, munie de son brevet,
elle enseigne un an en sixième-cinquième à Jeanne d’Arc.

L’heure de répondre à l’appel de Jésus était arrivée
et elle demande, en 1941, son entrée au Noviciat des Sœurs du Saint Enfant Jésus
et deviendra Sœur Sainte Lucie.
Elles sont 8 à répondre au même appel dont 4 de l’Institution.
L’année suivante, 16 postulantes se présenteront à la même porte.

Le noviciat fut pour elle, un temps fort.
Dynamique, douée manuellement, elle était un élément précieux
dans ce groupe accueillant l’Evangile,
guidé par le message reçu de Nicolas Roland.
Elle pourra alors partager la parole qui engagera toute sa vie avec Marie,
Notre Dame de la Confiance : « Ecce ancilla Domini » :
c’était à sa prise d’habit.

En 1943, elle est envoyée à Jeanne d’Arc de Reims
où elle retrouve le chemin d’enseignante
et participe à la vie des jeunes en internat, durant 4 années.
Proche des jeunes, accueillante, elle écoute, encourage,
perçoit les recherches de vocation.

Ce sera ensuite l’envoi à Paris pour des études vers la licence d’allemand,
ce qui occasionnera ensuite 2 séjours prolongés en Allemagne.

En 1949, elle retrouve la mission d’enseignante à Sainte Thérèse de Rethel
tandis qu’en 1951, nous la retrouvons à Jeanne d’Arc de Charleville
et c’est en 1956 qu’elle est envoyée à l’école du Sacré Cœur de Sedan.

Dix ans passent et elle rejoint le Collège rural de Maubert.
Elle y demeurera de longues années,
participant au passage de l’Institut familial ménager
à l’Institut rural Notre Dame
puis au Lycée technique agricole.

Les liens de recherche avec les Frères de Thillois soutiendront ce passage
et aussi celui à une direction laïque.

Elle demeure à Maubert après sa retraite professionnelle,

y garde les contacts avec ces grands jeunes qu’elle aime
et qu’elle cherche à soutenir par la catéchèse et de nombreux services.

Ce sera en 1998 qu’elle est rappelée à la Maison-Mère


où elle assurera un service à la lingerie.

En 2000, la santé la conduit à l’infirmerie :
des années d’impuissance…
la maladie fait son œuvre et conduit à un silence certain.
Mais son cœur demeure ouvert de plus en plus à ce grand mystère d’Incarnation,
source de la vie de Congrégation.

Jusqu’au bout, elle chantera le message :
« Verbe du Père, nous T’adorons »
et le vibrant « O Fils unique, nous Te bénissons »
retentira à l’Oratoire chaque jour.

Elle revivra le chemin de l’Enfance que Jésus a parcouru le premier :
dépendante, sollicitant aide et présence, elle poursuivra sa vocation.

N’a-t-elle pas, ainsi, appris à ses Sœurs,
le vrai chemin de l’accueil humble et confiant,
faisant découvrir petit à petit, à chacune
l’extrême besoin de recevoir l’Esprit de Jésus,
Esprit de bienveillance et de supplication
qui nous est offert par la simplicité reçue de Nicolas Roland.
Puissions-nous en toute circonstance, redire comme elle, la prière de Faustine…
Avec quelle ferveur, elle la relisait chaque soir, l’affirmant de tout cœur :
« Jésus, j’ai confiance en Toi. Oui, c’est vrai. J’ai Confiance en Toi. »

Sa Foi toujours vivante, même si elle demeurait obscure,
se révélait lumineuse dans l’instant présent lorsqu’elle lisait :

« Il est là », (dans le tabernacle)
ou lorsque l’hostie lui était présentée.
Seul son regard exprimait cette foi profonde et heureuse en l’Eucharistie.
Son désir se percevait alors.
Maintenant que Jésus se manifeste à elle en plénitude
« comme la Route vers le Père et la Porte du Royaume »,
demandons-lui qu’elle nous garde
dans la grâce d’une fidélité toujours plus courageuse
pour nous offrir et laisser Jésus agir.
Demeurons confiantes, patientes et suppliantes.

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Soeur Denise Michel

Sœur Denise Michel
(Sœur Léon)

1913- 2012

Sœur Denise est née le 3 septembre 1913
à Neuflize, village proche de Rethel.
Elle est la 3ème d’une de ces familles chrétiennes qui ont marqué les Ardennes.
Fière de ses origines, elle gardera toujours
la même ténacité.

Chez elle, le non sera « non ». Qui aurait pu la faire plier ?…

Elle a connu les guerres successives, de 1914-18 et de 1940.
Si la 1ère est vécue en famille, la seconde marquera le début de sa vie religieuse.

L’exemple des parents qui ne reculent devant rien
pour donner une formation chrétienne à leurs enfants
marquera fortement son enfance et son adolescence.
Les épreuves de la guerre de 1914 obligeront à vivre plusieurs années
dans un logement de fortune, aménagé dans la ferme.
En 1925 seulement, la famille retrouvera la maison d’habitation.

Ce sera bientôt le mariage (en 1928) de sa sœur Jeanne.
Une première séparation car l’éloignement, les maternités successives,
le travail de la ferme feront qu’il lui sera difficile de revenir à la « maison »
même pour les réunions des fêtes familiales.

Voici 1933 la retraite spirituelle et la décision de ne plus attendre
pour répondre à l’Appel de Jésus.
Si le premier attrait semblait l’orienter vers les petites Sœurs des Pauvres,
le désir manifesté par Mgr  Suhard de voir
la Congrégation du Saint Enfant Jésus s’étendre et même devenir romaine
semble ouvrir un autre chemin.
Après quelques hésitations, la route s’éclaire.
« Oui, c’est là que Dieu m’appelle. » C’est là le chemin.
Plus tard, elle découvrira la grande Famille lasallienne
où Sœurs et Frères œuvrent pour la Gloire du Saint Enfant Jésus
et l’évangélisation des jeunes.
Le désir de retourner à Lourdes la conduit à ne franchir
le seuil du noviciat que le 8 décembre.
Deux ans passent et toujours accompagnée
et soutenue par Mère Saint Isabelle,
elle est envoyée à Vireux. Et voici qu’en 1938,
la « paysanne jamais sortie de son trou »
comme elle se définit en ce temps-là,
fut envoyée toute seule à Paris pour les études d’infirmière.
Fortifiée par la confiance en la décision de la Supérieure
et bien décidée à rester en lien, elle est partie.

La responsable de l’hôpital saint Joseph,
les rencontres faites l’ont soutenue
et lui ont fait toucher du doigt que la Sainte Vierge
à qui elle s’était confiée, était bien là.
Elle le sentit surtout en juin 1940 lorsque,
ne pouvant avoir de communication avec la communauté de Reims,
il lui fallut quitter Paris.
Une seule gare était ouverte
et elle ne connaissait que le lieu à rejoindre : Mainsat.
Marie était là et mit sur sa route un réfugié de Charleville
pour lui indiquer la direction.
La surprise et la joie furent grandes
quand sa Supérieure et ses Sœurs la virent arriver.
Que de souvenirs !…
Bientôt on put envisager un possible retour à Reims
et aussitôt, réouverture de la clinique, la seule non occupée par l’armée,
d’où l’afflux des malades et des docteurs…
C’est en 1943 que sa santé l’oblige à quitter la clinique
et à accepter 2 années de convalescence à Maubert.
En 1946, elle peut être envoyée à Sedan.

Sœur Agnès (la reine du faubourg) l’accueillit avec toute son inexpérience
mais lui offrit de partager l’œuvre qui s’accomplissait dans ce quartier
où les Sœurs, dans la pauvreté du lieu, vivaient leur vocation apostolique.

Le temps passe et elle doit quitter Sedan pour Ay.
Passage difficile, nouvelle situation.
Ne pouvant faire naître les Cadettes de la Vierge,
c’est vers la Croisade eucharistique puis la JOC qu’elle s’orienta,
soutenue par l’Abbé Godard qui devint l’aumônier.

En 1961, elle retourne à Sedan ;
ce n’était plus le faubourg de Sœur Agnès !…
Mais de nouveaux liens se sont tissés.

En 1966, elle fut nommée à Nouzon, passage rapide d’une année
pour rejoindre ensuite la « rue Colette » de Mézières.
Mission délicate, car il fallait fermer cette communauté
pour se diriger vers un appartement proche de l’école :
nouvelle communauté, présence en école,
présence au dispensaire de la Couronne
avec des impossibilités pour rejoindre les jeunes.
Ce fut aussi le poids des événements de 1968 fortement ressentis avec départs, discussions, hésitations, recherches, tout cela portés dans la prière.
Impuissante, lui semblait-il, elle sollicita son changement…
Ce fut alors la Houillère où elle réalisa qu’elle ne retrouvait que la catéchèse.
Ce n’était plus les grands jeunes, ni les âmes vaillantes si nombreuses à Sedan.

En 1984, ce fut le retour à Reims.
Période où il fallait fermer la Maison de famille,
portant toutes les souffrances occasionnées par toutes ces fermetures,
(incomprises de l’entourage) et qui, pourtant,
sont le chemin d’un avenir possible.

Vient alors une nouvelle étape en Communauté à la Maison-Mère,
permettant encore la rencontre de personnes âgées
dans les visites d’amitié ou pour leur porter le Seigneur Eucharistie
avec le réconfort de la prière ensemble.

C’est le moment de vivre une Communauté plus grande.
La Saint Vierge est là. Elle lui fait confiance,
lui abandonnant tout pour qu’elle la guide
avec son Bon Ange vers le grand passage,
la rencontre avec son Dieu, sollicitant son pardon…

Chère Sœur Denise Michel,
voici qu’Il vous a appelée à entrer dans Sa Joie en ce 29 septembre,
Fête de Saint Michel. Pour nous, n’est-ce pas un clin d’œil du Seigneur ?
Qu’Il vous comble de Son amour miséricordieux.
Soyez maintenant notre intercesseur auprès de Lui.
Nous nous confions avec toute votre famille
à la Force de votre prière auprès de Marie, « votre maman »
comme vous aimiez l’appeler.

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Coloriage de la vie de Nicolas Roland pour les petits

Voici un album de coloriage pour les petits.
Vous pouvez ouvrir et télécharger les pages de la vie de Nicolas Roland

Couverture
page 1
page 2
page 3
page 4
page 5
page 6
page 7

Bonne découverte…

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Ouvrir les Chemins du dialogue avec Nicolas Roland

Ouvrir les Chemins du dialogue
avec Nicolas Roland

Télécharge le plateau de jeu, la Règle du jeu, puis les questions (Vrai ou Faux ?)

Plateau de jeu, format pdf :
ouvrir-les-chemins-du-dialogue-avec-nicolas-roland
Plateau de jeu, format word :
ouvrir-les-chemins-du-dialogue-avec-nicolas-roland
Règle du jeu
Questions : Vrai ou Faux

Et maintenant vérifie tes réponses : Vrai ou Faux -réponses

Alors, connais-tu bien Nicolas Roland ?

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